Incivilités, sécurité routière, stationnements sauvages et toujours moins de services publics

Allée des Jonquilles, un locataire possédant 2 camping-cars, une voiture personnelle, 1 camionnette, 1 grosse remorque se sert des parkings, des pelouses, des espaces pompiers pour des réparations sauvages de voitures sur la voie publique ce qui est strictement interdit. Rue du 11 novembre, des voitures arrivent sur un camion remorque pour récupérer des pièces détachées, les réparations se font sur le parking des Iris. Les épaves dans la rue, quelquefois brûlent. Des bidons d’huile de vidange à l’entrée de la coulée verte ont été renversés.

Au 5 résidence des Iris, la porte a été fracassée et réparée par l’office qui a changé également les portes et serrures au n°3 dont les dealers occupaient le local à vélo.

L’A 86 est encombrée tous les jours matin et soir, ceux qui connaissent contournent par la rue du 11 novembre à toute allure et sont dangereux pour les piétons. La ville a mis des ralentisseurs trop espacés, les voitures passent au milieu et ne ralentissent pas. Il faudrait rapprocher les ralentisseurs.

Rue des Pâquerettes, les problèmes de stationnements sauvages sont récurrents : entrées de parking bloquées, riverains empêchés de sortir ou d’entrer de chez eux, cortège funéraire bloqué. Rue de Saules les piétons, les poussettes, les fauteuils handicapés circulent dans la rue à cause des voitures garées sur les trottoirs. Les bus et les gros camions sont empêchés de tourner à l’angle de la rue de Sartrouville et de la rue des Saules.

Les jardins ouvriers du bord de Seine sont en permanence saccagés depuis la création du bidonville.

L’amicale et l’association le Vivre-Mieux remercient l’office pour ses réparations. Depuis la visite du maire, la police est passée plusieurs fois et des épaves ont été retirées. Mais, l’amicale déplore la disparition des services publics. Le commissariat de quartier a disparu, la poste n’est ouverte qu’à mi-temps.

Amicale du Petit-Nanterre en association avec le Vivre-Mieux